De groene zeepbel

Geen categorieaug 28 2011, 16:30
Vergroening van de economie staat (of stond?) lange tijd hoog op de politieke agenda. Afgaande op de politieke retoriek had deze de hoogste prioriteit. Maar, zoals Elsschot al zei, tussen woord en daad staan wetten in de weg en vele praktische bezwaren. Het wil dus maar niet erg lukken met die vergroening, niet alleen in Nederland, maar ook elders in de wereld.
Een saillant voorbeeld is de uitstoot van CO2 in ons land. Ondanks alle beleidsinspanning om de uitstoot terug te dringen, blijkt deze in 2010 hoger dan ooit te zijn geweest. De cijfers liggen ruim boven de inschatting die het ministerie van VROM destijds had gemaakt. Dat betekent dat het moeilijk zo niet onmogelijk wordt om de klimaatdoelen te halen die in het Kyoto-protocol zijn vastgelegd. Ik heb overigens niet het gevoel dat er nog iemand is die daarvan wakker ligt.
Maar hoe zit het dan met de ontwikkelingen op andere terreinen, bijvoorbeeld zonne- en windenergie, electrische auto's en biobrandstoffen? Ook op die terreinen blijkt het tegen te zitten. Op zijn blog schrijft Pierre Gosselin daar het volgende over:
Solar panels, electric cars, windmills, biofuels – It’s all been ballyhooed as the next socio-technological revolution. One that would transform our energy supply and ensure “sustainability”, thus saving the earth from climate doom. “Go green” was the motto. All that was needed was a little help from the state. Now it looks as if even a Soviet style intervention is not going to save the green movement. Rather, it looks as if state intervention has doomed it. Everywhere the green economy is in tatters. It seems everything that the government touches nowadays ends up turning into a folly. We are seeing it with solar energy, see here, here, here and here. The same goes with wind, biofuels and deforestation, and even the toxic mercury-laden light bulbs that are poisoning the land. How much longer before it all goes bankrupt?
Just recently Marc Morano unplugged the Chevy Volt, revealing the folly behind government supported electric cars, see here. No one wants them – even with the massive subsidies. And not even in Green Germany. Here a recent study released by oil company Aral shows that Germans are once again interested in acquiring a new car, read here in German. That’s good news for the economy. The problem is that fewer people are expressing interest in buying electric cars and hybrids.
Lees verder hier.
Ook uit Frankrijk komen dezelfde geluiden. Vincent Bénard schrijft:
[Tip voor degenen die het Frans niet machtig zijn: gebruik Google Translator.]
Sale temps pour l'industrie américaine des énergies renouvelables. Tant le secteur de l'éolien que celui du solaire subit de plein fouet la baisse, voire la fin des subventions fédérales. Et la nécessité impérieuse de réduire l'emballement de la dette publique ne va rien arranger. C'est d'abord le Huffington post, organe peu suspect de sympathies droitières, qui nous apprend que le secteur éolien US est en grand désarroi. Ce secteur n'a dû sa survie qu'à 4,9 milliards de dollars de subventions en 2010, subventions amenées à s'arrêter au plus tard fin 2011. Et, faute d'avoir atteint un niveau de développement lui permettant de proposer des produits rentables sans subventions (on en est très loin), les clients se détournent de ce mode de production d'électricité capricieux et totalement inefficient.
Bon, il n'y a pas qu'aux USA que les renouvelables souffrent. En Australie, le principal producteur d'énergie "verte" (enfin, verte... Il faut le dire vite) de Nouvelle Galles du sud, Rewind Energy, est en redressement, juste après trois autres firmes dénommées DCM Green, First Growth Funds and Intelligent Solar. Et les observateurs du secteurs s'attendent à de nouvelles difficultés, d'autant plus que les projets de Taxe Carbone portés par la première ministre (socialiste) Julia Gillard sont en train de provoquer la naissance d'un mouvement de protestation d'une ampleur inconnue jusque là sur l'ile-continent Down Under. Si cette taxe n'aboutit pas, le secteur sera cliniquement mort.
Même motif, même punition en Espagne, Allemagne, etc...
Bénard trekt uit deze ontwikkelingen meer algemene conclusies over de risico's van ingrijpen van de overheid in de economie.
Pourquoi une telle débâcle ? Parce que nos dirigeants, tout à leur idée de croire qu'ils savent mieux que nous ce qui est bon pour nous, ont oublié que les forces qui meuvent l'économie sont aussi intangibles que les principes de la thermodynamique ou les lois de la gravité. ...
"Il n'y a pas de développement durable sans développement profitable".
Le profit n'est pas une condition suffisante de la durabilité, mais il en est une condition absolument nécessaire. Les subventions à des activités intrinsèquement non rentables non seulement favorisent les offres les plus médiocres au détriment des meilleures, mais détournent des montants importants de capital privé d'investissements autrement plus prometteurs. Enfin, en cas d'incapacité pour l'état de maintenir son schéma de soutien aux canards boiteux au frais du contribuable, des milliers de salariés se retrouvent sur le carreau, après avoir dépensé un temps considérable à acquérir un certain nombre de savoirs-faire dont les débouchés se réduisent comme peau de chagrin. Superbe résultat ! C'est la faute au réchauffement climatique...
Au nom de la "lutte contre le réchauffement climatique", menace très hypothétique dont une science totalement pervertie par la mauvaise politique nous affirme qu'elle pourrait mettre en danger nos descendants dans 100 à 150 ans - comme si 150 ans de progrès technologique ne donneront pas à nos petits enfants les moyens de s'adapter ! - les états, sous la pression de lobbys financiers aux très gros moyens tels que l'INCR (Investor Network on Climate Risk), ont créé les conditions d'un nouveau désastre industriel et financier qui mettra en danger nos économies, et donc des milliers de familles durement frappées au portefeuille.
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Kortom, Bénard verwacht dat de groene zeepbel - gevoed door subsidies die in het licht van de kolossale begrotingstekorten zullen worden gereduceerd dan wel beëindigd - binnenkort uit elkaar zal spatten. In dat geval zullen we weer een illusie armer, maar een ervaring rijker zijn.
Vincent Bénard:
Réchauffement climatique, que de drames économiques et humains auront été provoqués en ton nom ...
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